Dans la gamme Golf, il existe une version hybride rechargeable de 204 ch. Une puissance qui permet d'avoir déjà quelques sensations au volant. Mais Volkswagen est allé beaucoup plus loin avec ce concept, au look bodybuilé et au moteur gonflé à 400 ch !
A voir le succès de notre news sur la GTI Clubsport (265 ch), qui sera commercialisée en 2016, aucun doute sur le fait que les Golf dévergondées vous plaisent. Ainsi, nous ne vous privons pas du plaisir de découvrir une autre version encore plus radicale de la compacte allemande, elle aussi dévoilée lors du festival Wörthersee (dédié aux sportives du groupe Volkswagen). Mais ici, il s'agit d'un vrai concept-car, qui n'a aucune chance de sortir en l'état. Pas grave, cette GTE Sport reste plaisante à regarder et sa fiche technique fait saliver.
D'ailleurs, regardons tout de suite ce qui se cache sous la carrosserie. La GTE de série développe 204 ch. Ici, le nombre d'équidés est quasiment doublé ! La Sport reprend à son compte le quatre cylindres 1.6 TSI 299 ch de la Polo WRC. Il est couplé à deux moteurs électriques, un associé à la boîte de vitesses DSG 6 rapports et un autre à l'arrière. La puissance maxi cumulée est de 400 ch. La vitesse de pointe est de 280 km/h et il faut 4,3 secondes pour passer de 0 à 100 km/h. Avec des moteurs à l'avant et à l'arrière, cette Golf est une quatre roues motrices. Toujours hybride rechargeable, elle peut parcourir jusqu'à 50 km sans utiliser d'essence.
D'un point de vue esthétique, cette Golf n'a plus grand chose à voir avec le modèle qui se trouve dans les concessions ! La Sport ne mesure d'ailleurs que 4,13 mètres de longueur, soit 12 cm de moins par rapport à l'auto de série. La silhouette est nettement plus athlétique... et quelques traits pourraient être repris par la prochaine génération de Golf, qui sera en vente en 2018. La calandre, les optiques affinées et les prises d'air ne font qu'un à l'avant. De profil, Volkswagen a conservé l'incontournable montant arrière en forme de virgule. L'arrière en impose avec ses ailes gonflées et sa double sortie d'échappement.
L'accès à l'habitacle se fait par deux portières qui s'ouvrent en élytre et mordent généreusement sur le toit. Le conducteur a face à lui un volant digne d'une monoplace de compétition et une instrumentation numérique. Il est séparé du passager par un immense tunnel central, qui fait corps avec les sièges. L'ambiance est ainsi très confinée.
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